Figurant parmi les leaders mondiaux des équipements de manutention sur tracteur, MX (Acigné, 550 salariés) est la seule marque française aujourd’hui à fabriquer sur le même site industriel 5 gammes différentes de chargeurs adaptables sur 45 marques de tracteurs.
Une entreprise industrielle à fort potentiel de croissance
MX mise sur l’export pour assurer sa croissance : la France et l’international représentent chacun 45% de son activité, les 10% restants étant commercialisés sous marques blanches. Le groupe familial s’appuie sur un solide réseau de concessionnaires, d’importateurs et sur ses deux filiales commerciales en Angleterre et en Allemagne pour distribuer l’ensemble de ses gammes de produits dans 64 pays à travers le monde. Il dispose en outre d’une usine en Inde pour le marché asiatique et une au Brésil pour le marché d’Amérique du Sud.
MX équipe 7.500 modèles de tracteurs de 15 à 300ch dans 45 marques différentes et compte plus de 180 outils dans son catalogue. Sa force réside dans sa capacité à travailler sans carnet de commandes pour être au plus près de ses clients et les servir dans des délais courts de 24 heures pour certains produits à 3 semaines. Pour garantir cette réactivité, l’entreprise maintient un haut-niveau d’intégration industrielle de la plaque d’acier à la livraison chez le client pour fabriquer ses produits de bout en bout et acheter le moins d’éléments possibles à l’extérieur.
La raison d’être de MX est de faciliter chaque jour le travail de manutention des agriculteurs.
L’entreprise a ainsi renouvelé et élargi en 6 ans toute son offre produits et développé de nombreux services pour faciliter la vie de ses clients utilisateurs. Elle gagne des parts de marchés et investit avec la volonté de créer des emplois en France. Aujourd’hui, MX propose 30 nouveaux postes en CDI. « En 2018, je suis un dirigeant fier de communiquer sur l’élan économique de notre entreprise industrielle et sur notre capacité d’innovation pour nous renouveler et nous adapter aux marchés et aux besoins de nos clients », conclut Frédéric MARTIN, président de MX.
Source : MX